Deckar ~ Jason Livingston [Valide]

Joueur


Nom: Livingston
Prénom: Jason
Âge: 17

Vie : Jason Livingston, un homme tout ce qu’il y a de plus normal à quelques exceptions près... Mais commençons par le début. Il est né dans un petit pays d’Amérique du Sud, d'une mère sud-américaine pauvre et démunie et un père américain mort à la naissance, ne laissant à son fils que son nom de famille, Livingston. La mère de l'enfant le prénomma Jason en l'honneur de son grand-père américain. L’accouchement se fit sans difficulté, tout laissait penser que ce jeune homme vivrait comme sa mère et gagnerait sa vie à effectuer des travaux désuets et inutiles. Contrairement à sa génitrice, il avait une intelligence très vive et une très grande logique. À l’âge de 10 ans, grâce à sa mère qui avait économisé tout ce qu’elle gagnait, il put aller à l’école du quartier. Il fut intégré dans une classe avec des enfants de 8 ans. Imaginez sa frustration d’être au même niveau que des enfants riches et qui étaient tous des « bébés gâtés » par leurs parents. Heureusement, toutes ses années à mendier et à faire des travaux physiques lui avait donné une constitution très impressionnante. Les autres élèves évitaient donc soigneusement de l’insulter quand il était près. Ils avaient peur de ce jeune garçon au cœur tendre. Grâce à sa persévérance, il fut directement placé dans une classe avec d’autres enfants de son âge. Enfin, pour la première fois de sa vie, il eut un ami, un garçon répondant au nom d’Érik. Avec ce jeune Canadien, il discuta et s’amusa de longues heures de son enfance. Il était étonnamment brillant et était toujours le premier à terminer les exercices que leur professeur, le professeur Remplant, leur donnait. Sa mère réussit même à se trouver un emploi convenable et ils devinrent des Sud-américains situés dans la classe moyenne. Jason, confiant, croyait maintenant que tout lui était possible de faire. Malheureusement, une série d’évènements infortunés vint briser sa joie et son bonheur. Un jour, alors qu’il avait 14 ans, son ami fut obligé de partir chez lui, ses parents ayant reçus une demande d’emploi à leur pays natal. Le jeune Livingston l’apprit le lendemain, en parlant à son professeur.

-Monsieur, est-ce que vous savez où est passé Érik? Il est malade?

-Non mon petit Jason. Il est parti au Canada hier soir. Ses parents n’ont eu le teps que d’appeler le directeur avant de partir prendre leur avion qui partait le soir même pour Toronto, la plus grande ville de ce magnifique pays qu’est le Canada.

Le cœur brisé, il s’enfuit à travers les rues de la ville. Il pleurait à chaudes larmes. *Pourquoi ne m’a-t-il pas dit qu’il partait ! IL aurait pu m’avertir! Je ne le reverrai jamais, et c’est de SA faute !* Sa tristesse s’était muée en colère. Il courait aussi rapidement qu’il le pouvait mais, ne regardant pas où il allait, il arriva sur l’autoroute. Il était à présent au milieu quand il se rendit compte d’où il était. Effrayé, il tenta de retourner chez lui. Il regarda des deux côtés mais il y avait des voitures. Du temps s’écoula mais Jason n’aurait pas pu dire combien. Finalement, rassemblant son courage à deux mains, il traversa en courant. Il avait presque atteint le bord quand une voiture, qui roulait à toute vitesse, le frappa de pleins fouet. Il fut projeté comme une pierre qu’on lance et atterrit brutalement sur le sol. La douleur intense lui fit perdre conscience.

Quelques temps plus tard, il ouvrit les yeux difficilement. Il entendait le son constant qui faisait des « Bip.... Bip... Bip... ». Il vit sa mère, assise dans un fauteuil, qui dormait. Observant dehors, il vit avec stupeur qu’il n’était plus chez lui, ni dans l’hôpital du quartier, mais dans une grande ville avec pleins de gratte-ciels ! Stupéfait, il tenta de se lever mais il ne parvint pas à bouger ses jambes. Avec lenteur, il leva la couverture qui le couvrait et découvrit avec horreur que ses jambes formaient un angle étrange. Hurlant de frayeur, il réveilla sa mère brutalement et celle-ci lui sauta littéralement dessus, versant des larmes de soulagement sur son fils sorti d’un profond coma. Elle lui expliqua, après l’avoir calmé, que l’hôpital de la ville ne disposait pas le matériel nécessaire pour le soigner. Elle l’avait donc emmené, grâce à des connections que le directeur de l’hôpital avait avec des Américains influents, dans un hôpital de la ville de New York, un hôpital très bien équipé. Lui demandant ce qu’il avait, elle se mordit les lèvres et lui annonça :

-Tu as eu un accident. Nous avons réussi à t’emmener ici et les médecins ont fait un diagnostic complet. Tu as fait une commotion cérébrale, tu t’es brisé les clavicules et les deux jambes. Même avec les meilleures technologies, nous n’avons pu arranger tes jambes brisées. Désormais, tu ne pourras plus jamais marcher.

Jason éclata en sanglots. Jamais plus il ne pourrait marcher, jamais plus il ne pourrait courir dans les rues, faire de la bicyclette ou même flâner dans les rues. Il se promènera donc toujours en chaise roulante. Les jours suivants se déroulèrent sans que Jason ne se souvienne de quelque chose qu’il avait fait. Ces jours avaient disparu de sa mémoire. Dès lors, il développa des intérêts envers la lecture et, plus particulièrement, les jeux vidéo. Il s’était acheté pleins de jeux et toutes les consoles qu’il connaissait. Il avait pu les acheter car sa mère avaient décidés de rester à New York et parce qu'elle avait un métier qui payait très cher. Maintenant devenu assez riche, il avait presque tout ce qu’il voulait.

Un jour, alors qu’il naviguait sur le web, son attention fut attirée par une image sur un site de jeux vidéo. Il y avait un slogan très intéressant.

Trepalovia

Où la vie n’est qu’un jeu

Dès cet instant, il sut que ce jeu était le jeu de sa vie. Le jeu le plus incroyable qui n’avait jamais été conçu. Et toutes les critiques avaient dit que ce jeu était formidable. Dès cet instant, il décida qu’il devait se le procurer. Après quelques semaines de recherche, il finit par se procurer et la console et le jeu.

Un jour, quand sa mère partit faire un voyage d’affaire, laissant le jeune Livingston seul chez lui, il décida d’essayer ce jeu magnifique. Il mit le casque et créa son personnage. Que pouvait-il créer ? Il ne voulait pas un personnage méchant, donc son personnage serait gentil. Il se ferait un demi-elfe, cet être gracieux comme les elfes et curieux comme les humains. Il se fit un personnage lui ressemblant un peu. Il se fit donc un mage, un être faible physiquement et qui utilise la magie afin de se défendre. Il réfléchit alors pour un nom... un nom... Il avait déjà lu un livre qui racontait l’histoire d’un grand guerrier qui devint un légendaire paladin, accompagné de son fidèle ami le magicien, nommé Deckar. Après de mûres réflexions, il choisit ce nom. Observant son personnage, il sourit en pensant qu’il allait vivre une aventure incroyable. Il se connecta au jeu et vécut les plus belles heures de sa vie. Il monta niveau deux, mais quand il voulut repartir, il resta dans ce monde virtuel. D’abord inquiet, il se ravisa en disant :

-Ce monde est merveilleux. Jamais plus je ne le quitterai.

Caractère : Il est très calme et doux. Depuis qu’il est en chaise roulante, son intelligence et sa vivacité d’esprit se sont accrues. Il a créé son personnage afin qu’il lui ressemble mais pas physiquement. La classe de mage l’avait intéressé car sans combattre avec des épées ou d’autes armes, il était très puissant grâce à sa magie. Deckar est maintenant sa véritable personnalité, alors il considère sa vie en tant que Jason révolue et cette existence n'est qu'un souvenir.



Personnage


Pseudo: Deckar
Race: Demi-Elfe
Classe: Mage
Alignement: Bon
Niveau: 2

Description physique: Deckar a les cheveux blonds, presques blancs, et ils descendent jusqu’à son cou. Il mesure plus ou moins de 1m76, ce qui le situe dans la moyenne. Il a des doigts longs et fins. Il a des traits effilés et des yeux de couleur vert émeraude. Il est peu costaud et mince. Il porte, d’habitude, des vêtements amples de couleurs variant du bleu au blanc. Il émane de lui une aura subtile de magie.

Compétences :

Niveau 1 Traits de Feu (Acquis) : Deckar a la faculté de lancer sur ses adversaires de petits jets de feu. Cette magie, bien que peu puissante, peut se révéler très utiles contre des ennemis groupés.

Niveau 2 Lecture de Pensées (Acquis) : Deckar peut, avec de la concentration, lire les pensées les plus fortes de gens. Il ne peut fouiller l’esprit de la cible, uniquement savoir à quoi cette personne pense à l’instant.

Niveau 3 Armure de Feu ( En Apprentissage) : Cette magie permet de créer une armure de feu sur lui. Cette armure peut résister aux coups portés mais elle ne peut protéger son porteur de la magie. L’armure, bien qu’elle ne dure pas très longtemps, est très utile contre des ennemis coriaces qui attaquent seuls. Les flammes brûlent ceuxqui s'approchent de l'armure de trop près.

Citation :

Joueur

Nom : Validé
Prénom: Validé
Âge: Validé

Vie : Validé
Caractère : Validé

Personnage

Nom/Prénom : Validé
Race: Validé
Classe: Validé
Alignement: Validé
Niveau: Validé

Description physique: Validé

Compétences:
Niveau 1 Validé
Niveau 2 Validé
Niveau 3 Validé

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Deckar ,Accepté

Bon jeu , le Serveur