/!\Jeu d'Ombre [Libre]/!\

Enfin libérée de l'étreinte de son vêtement qui était bien sur de trop dans cette situation, elle eu un nouveau sourire en regardant le Lord qui semblait fortement apprécier le contenu du carcan. Elle aurait voulu continuer à le dévêtir afin que ce dernier se trouve dans la même situation qu'elle mais apparemment il avait d'autres projets qui n'en étaient pas moins agréables.

Arzhura semblait sentir son sang pulser dans la moindre de ses veines comme si elle prenait soudainement conscience de la totalité de son corps. Et cette chaleur dans son ventre qui augmentait toujours plus, les flammes du désir qui dévorait peu à peu tout son corps avec une lenteur divine qui la faisait mourir d'empressement.

Admirant la peau découverte de son compagnon, elle ne pouvait que s'impatienter de ce qu'il allait bien pouvoir faire d'elle. Ses mains liées par celles du Lord, elle le regarda faire en silence, se mordillant la lèvre inférieur tant les émotions qui se bousculaient en sa personne étaient forte.
Ne pas pouvoir elle même faire jouer ses mains et ses lèvres sur ce corps tant désiré était pour elle une succulente torture car bien évidemment elle était loin d'être déçue des jeux de bouche de l'humain...

Elle se surpris même à laisser échapper un gémissement langoureux lorsque les dents de Pyrros commencèrent à la mordiller...vraiment c'était insupportable de ne pouvoir lui rendre la pareille mais en même temps tellement bon de se laisser faire ainsi. Seules ses jambes étaient libres de tout mouvement alors elle les enroula lentement et avec une douceur caressante autour de la taille du Lord, l’attirant encore plus contre elle, le regardant intensément comme si des flammes folles brillaient dans ses yeux sanguins et semblaient lancer des demandes sulfureuses au jeune homme.

Force, douceur ... le gémissement de la belle exacerba encore ses envies lorsque Arzuhra l'enlaça de ses jambes soyeuses, l'emprisonnant de ses désirs en collant son bassin contre le siens. Le jeune homme pouvait sentir l'humide chaleur à travers le tissu déformé de son pantalon sous les déhanchements suave des hanches de l’elfe. Leurs mains se lâchèrent alors que les doigts de Pyrros glissaient le long des cotes de la jeune femme, saisissant bientôt sa taille d’une étreinte fiévreuse pour mieux encore sentir ce corps onduler sous ses caresses.

La langue curieuse remonta vers le cou d’Arzuhra, la mordillant de baisers passionné à nouveau alors que le ventre du Lord s’appuyait contre celui de la belle, montant et descendant lentement au gré de ses fantasques appétits, laissant sentir au corps de la tigresse la portance de son désir pour elle et la laissant le désirer plus encore chaque seconde. Lui-même la désirait sans limite, et se n’est que par un jeu cruel de frustration qu’il parvenait encore à se contrôler.

Les mains glissèrent le long des jambes de la féline jeune femme, faisant frémir le Lord à ce touché excitant. Il la saisi bientôt aux chevilles, agrippant une fois encore l’elfe noire pour mieux la soumettre à ses envies, ses désirs. Et lentement la bouche mutine descendit vers le puit de chaire, s’attardant entre les seins et sur le nombril de la nymphe, s’ingéniant à ralentir encore la descente alors que le jeune homme toisait Arzuhra dans les yeux d’un air mutin, fondant bientôt entre les cuisses impatientes de la belle, savourant avec délice la saveur salée de sa peau humide alors que sa langue découvrait cet univers de chaire chaude et douce en de lente caresses soutenues.

[Edit: et les 20 lignes obligatoires, hein?^^ Je passerais sur le caractère un peu (beaucoup) osé de la scène...]

[ On s'est tout de même attardés sur les règles pour savoir si c'était permis et bon comme y avait aucune mention pour ce genre de scène ba on s'est dit que c'est bon]
[Oui oui Arzu... ce que je voulais dire c'est que même si vous faites gentiment mumuse, oubliez pas quand même de respecter les quelques règles du forum... Je tiens à mes 20 lignes...^^ (s'en va en fermant les yeux devant tant de lignes obscènes, choquantes, et... finalement faites ce que vous voulez...lol)]

Cruelle frustration, c'était bien le mot pour la situation car même Arzhura brûlait d'impatience de pouvoir sentir sa peau contre celle du jeune homme, le noir et le blanc, de pouvoir se fondre totalement avec lui, de ne faire plus qu'un avec cet être pour qui elle éprouvait des sentiments tellement contradictoires. mais cela ne faisait que l'inciter à le désirer encore plus si c'était alors possible...A cet instant, elle l'aurait voulu juste pour elle, qu'il soit tout contre elle pour toujours comme dans un rêve éveillé. Cependant, ce n'était sûrement pas possible, elle n'avait qu'à savourer le moment présent en espérant que tout ne s'effriterait pas lorsque leur envie se serait apaisée.

les caresses prodiguées par les mains du mage la faisait frémir complètement, une chaleur violente s'était emparée d'elle, faisant même apparaître quelques perles de sueur sur son front. Quelle attente insupportable.
Dans les secondes qui suivirent, ce fut le contact de la bouche de Pyrros sur sa peau qui provoqua sur elle une impression de brûlure plus que plaisante jusqu'au moment ou la langue de ce dernier vint s'évanouir dans son jardin secret. Ce fut une explosion de sensations, un déchaînement de plaisir si bien que les mains de l'elfe se crispèrent sur les draps pouilleux du lit de fortune, s'accrochant comme si elle était aspirée par quelque chose d'extrêmement brutal.

Se mordant les lèvres plus fort pour tenter d'étouffer ce nouveau gémissement bien plus intense que le précédent qui ne pouvait être mit sous silence, rejetant la tête en arrière et fermant les yeux afin d'apprécier encore plus ce succulent voyage à travers la volupté. Arzhura tremblait presque à cause de ces vagues puissantes de jouissance, il faut dire que le jeu de langue du jeune homme était plus que merveilleux : parfait...

Enfin elle ouvrit les yeux pour lui adresser un regard de concupiscence, l'appelant plus près d'elle avec un sourire malicieux...

Elle gémissait. Elle l’appelait de ses regards et de ses gestes, désirant son corps contre le sien. Oh combien Pyrros le désirait également. Se coller à elle, la laisser le débarrasser de ses derniers vêtements en quelques gestes terriblement excitants, l’enlacer par la taille et lui mordiller l’oreille, et la saisir fermement en laisser leurs envie prendre le pas sur leur corps en un embrasement de sensations à leur en faire perdre la tête …
Mais la lubricité du Lord était loin d’être satisfaite par ce simple baiser contre le bas ventre d’ Arzuhra, il voulait lui offrir plus, bien plus. Lui faire mordre l’oreiller tant ce qu’elle sentirait dépasserait les barrières de sa chair. Comme pour satisfaire les attentes de son amante, il lâcha les chevilles et laissa ses mains parcourir les douces jambes de la jeune femme, s’attardant sur ses cuisses brûlantes alors qu’il relevait doucement la tête, la regardant le prier de venir à ses cotés. Et lorsque ses mains arrivèrent au niveau des hanches de l’elfe il les agrippa brutalement, violement alors que son visage plongeait de nouveau entre les jambes d’Arzuhra en une pénétrante poussée. Sa langue lécha et flatta, se faufilant en frémissant en chaque recoin de cet espace brûlant de désir, sa bouche mordillant légèrement la chair friande de l’elfe qui ne pouvait s’empêcher de se trémousser en tout sens. Elle avait gémit, et elle allait soupirer, elle allait haleter et murmurer … et enfin elle crierait, elle hurlerait lorsque les sensations seraient trop forte pour son corps. Pyrros désirait cela, désirait l’entendre rugir sous sa langue, et sentir son corps se coller contre son visage, avide de sentir cette bouche et cette langue plus profondément encore.

Et ses mordillantes caresses s’intensifièrent, ouvrant et palpant toujours plus, toujours plus loin, se régalant des effluves suaves de cette chaire si tendre. La langue habile glissait dans un ballet humide de salive et de cyprine, goûtant le salé breuvage avec vigueur, les lèvres aspiraient les chaires, tétant le brûlant nectar qui dégoulinait sur le menton du Lord. Une des mains lâcha prise et glissa vers le bas ventre d’Arzuhra, apportant encore un renfort supplémentaire dans ce nid de sensation acérées, cherchant avec ferveur le clitoris de la demoiselle qui se dandinait de plus belle. Et les doigts se mirent à jouer sur ce terrain sensible, glissant et frémissant autour de cette tendre peau rendue sensible par l’excès d’excitation. Et dans ce ballet ininterrompu de douceur violente, l’autre main descendis le long de la cuisse, ralentissement volontairement son parcours jusqu’à atteindre le fruit de toutes les attentions du jeune homme, s’attardant à son entré pour mieux se faire désirer, investissant enfin les lieu d’un lente poussée.

Et le corps d’Arzuhra se referma autour des doigts de Pyrros, humide et brûlante. Un rictus ravi illumina son visage en sentant la si faible résistance de la jeune femme, et le jeune homme poursuivit son manège au cœur de cette fournaise jusqu’à ce qu’elle hurle plus encore que lors de ses précédente caresse, augmentant encore la force de ses mouvement sur son amante désirée.

En tout cas si le Lord attendait des hurlements, il n'allait sûrement pas être déçu car la brûlante chaleur du plaisir continuait de monter avec les jeux de bouche du jeune homme. A croire qu'il lisait dans les pensées d'Arzhura, comment pouvait il lui procurer de telles sensations autrement?

n'étant plus capable de retenir l'expression de ses sensations, sa bouche resta entrouvert afin de laisser échapper des soupirs embrasés qui ne demandaient qu'à décharger ce flot orgasmique qui l'assaillait.
Tout son corps brûlait d'impatience que Pyrros vienne la rejoindre cependant il avait des arguments plus que convaincants qui lui faisaient tourner la tête et avec une brutalité si délicate qu'il lui était impossible de faire autrement que d'apprécier. A cet instant elle se disait même qu'elle aurait pu se soumettre à la moindre des envies du jeune homme tant il la rendait folle de sensations.

Et plus la langue de ce dernier cherchait profondément en elle et plus ses soupirs se transformaient en gémissements dont le niveau sonore augmentait rapidement. Les yeux toujours fermés et le corps en quasi-transe, elle tremblotait un peu, ses muscles se contractaient spontanément comme si tout son corps n'obéissait qu'à ce qu'elle pouvait sentir entre ses jambes. Ses mains toujours crispées sur les draps, les déchirant presque, elle se disait que si le septième ciel existait vraiment elle risquait de l'atteindre plusieurs fois durant la nuit.

Alors que les mains de Pyrros rejoignaient le cœur même de la fournaise et jouaient avec un endroit particulièrement sensible en continuant ses subtiles caresses plus profondément encore, Arzhura ne put vraiment se retenir. Elle se cambra brutalement , la tête en arrière et laissant échapper un cri de jouissance particulièrement sonore se sentant exploser de plaisir intérieurement et ses doigts semblaient lacérer le draps…Décidément incapable de résister à l'emprise du jeune mage.
Elle n'était plus vraiment capable de contrôler la démonstration de son plaisir apparemment. Toujours dans la même position, elle tenta désespérément d'atteindre le jeune homme en tendant les mains, à présent elle le désirait en plus que tout, elle le voulait maintenant, tout de suite, tout contre elle, se fondant avec le lui, partageant les même sensations, lui donnant autant de plaisir qu'il pouvait lui en donner maintenant aussi brutalement, aussi violemment que toutes les sensations qui assaillait son corps et son esprit.

Les murs vibrèrent sous les rugissements vigoureux d’Arzhura, chacun de ses muscles tendus dans cette ascension charnelle semblant sans limite. D’audacieuses gouttes de sueurs perlant du visage de la belle glissèrent dans un sillon humide entre ses seins, se perdant sur la peau ferme de son ventre avant de s’échouer sur les draps humide et malmenés du sommier. Elle hurla face à ce plaisir devenu trop fort pour ses sens, les yeux grands ouverts et la tête rejetée en arrière, ses mains enserrant avec force le tissu du matelas, comme possédée par tant de sensations si forte qu’elle en perdait toute raison. Mais fermement Pyrros maintenait son emprise sur son bas ventre, rivalisant encore de caresses et de vigueur, envoyant de nouveaux soubresaut agiter les membres déjà crispés de l’elfe noire. C’est à peine si les crissements inquiétant du lit parvenaient à se faire entendre dans le chaos humide de gémissements orgasmiques.

Elle demanda grâce de nombres fois, son regard implorant de nouveaux extases, mais ses bras refusaient de l’assister, trop occupés à s’agripper au montants du lit. Sa bouche elle-même ne cessée de s’ouvrir sur de nouveaux halètements violents et saccadés. Le corps d’Arzhura ne lui répondait plus, obnubilé par l’emprise du mage entre ses jambes pour son plus grand plaisir, ses jambes elles même s’écartant contre toute volonté, laissant au jeune homme toute liberté dans un abandon total entre ses doigts habiles.

Elle lui tendit les mains, son ventre secoué de nouveaux sursauts délicieux. Le Lord les attrapa, s’y agrippant avec force et ardeur. Lentement il glissa sur le ventre de la nymphe, se retrouvant bientôt collé à elle dans une étreinte dépourvue de caresses. La frustration de ces deux corps avide de se toucher était palpable, déchirante, mais Pyrros maintenait les doigts de l’elfe noire, l’empêchant de se soustraire à ce jeu sensuel. Leur poitrine se frôlait sans cesse, maudissant la chemise séparant encore leur chaire avide, leurs jambes s’enlaçaient dans un ballet étrange, seuls leur bas ventre parvenaient encore à s’exciter, se frôlant à travers l’étoffe du pantalon du Lord. La frustration rendait cette seule caresse encore plus enivrante, cruelle et sensuelle alors que leurs regards se perdaient l’un dans l’autre.

Et Pyrros lâcha avec tendresse les mains d’Arzhura, son visage laissant apparaître un profond sourire à la douceur suave. Il laissa la nymphe prendre enfin possession de ce corps qui se dérobait à elle depuis si longtemps, lui-même laissant ses mains s’emparer des hanches d’Arzhura, l’attirant tout contre lui pour ne plus la lâcher, léchant du bout de la langue les quelques gouttes de sueur perdue entre les seins de l’elfe noire en frissonnant de plaisir.

Enfin il venait à elle, enfin elle pourrait l'avoir juste pour elle, tout contre elle...Un sourire prit place sur ses lèvres alors que leurs regards se croisaient dans un silence qui n'avait rien de pesant, bien au contraire. Elle n'en pouvait plus d'attendre, les barrières que créaient les vêtements du Lord lui étaient insupportable. Arzhura voulait sentir la chaleur de ce corps contre le sien, prêt à se fondre avec elle.

Alors qu'il glissait son visage entre ses siens, elle entoura les jambes de ce dernier avec les siennes tout doucement puis le poussa sur le côté de façon à se tenir au dessus de lui, assise à califourchon sur ce corps tant désiré.
Elle aurait eu envie de lui arracher le tissu qui l'empêchait de contempler cet être adoré cependant elle ne le fit pas mais détacha les boutons de la chemise du Lord un à un avec rapidité découvrant donc le torse de celui ci. Son sourire devint plus malicieux et elle plongea son visage dans le cou du jeune homme pour lui offrir quelques tendres baisers.

Pendant ce temps, ses mains habiles le dégageaient de sa chemise et s'attaquaient à l'ouverture de son pantalon plus lentement cette, fois, s'attardant un peu à effleurer du bout des doigts l'entrejambe de Pyrros.
Enfin, il était à sa merci au moins pour un temps.
Elle parvint finalement à ouvrir ce maudis vêtement, commençant à le faire glisser lentement le long des jambes du propriétaire, d'aidant elle même de ses jambes pour qu'il se débarrasse plus vite de cela.

Pour finir, elle se colla à lui, éprouvant un frisson délicieux au contact de la peau de celui-ci car constatant avec joie que la chaleur qui lui enflammait le corps depuis un petit moment semblait être réciproque. Ses lèvres goûtaient toujours avec délectation le cou et les épaules du Lord tandis que ses mains s'attardaient tantôt sur son torse tantôt juste en dessous de la ceinture.

Sa vision se troublait, laissant les sensations charnelles de son corps emplir toutes ses pensées alors qu'il perdait tout controle. Déjà sa respiration se faisait moins franche, plus rapide et plus forte alors que la chaleur de la peau de sa comparse sur son torse achevait d'enflamer ses sens. Les mains de l'elfe parcouraient désormais librement son corps, cela le rendait fou. Combien de mains avait elle pour carresser ainsi chaque recoin de sa peau, l'exitant encore d'avantage de ses doigts agiles et érotiques.

Leurs jambes s'enlaçaient en un ballet permanent, leur ventre se frolaient, leurs bras se frottaient, le visage d'Arzuhra glissait sur le torse du mage, sa poitrine effleurant parfois les hanches de Pyrros ... et tout le corps d'Arzuhra ne semblait que douceur humide et sauvage alors que ses mains s'attardaient sur son torse et entre ses jambes. L'envie de Pyrros pour l'elfe augmentait sans cesse, exacerbée encore par les carresses habiles d'Arzuhra.

Oh combien il désirait ce corps se trémoussant avec perversité, esclave de ses propres envies. Et chaque ondulation des hanche de la nymphe se répercutait dans le bassin du jeune homme qui ne pouvait retenir à son tour quelques mouvements de désir, laissant son bas ventre vibrer dans l'attente cruelle de ce corps sérré contre lui.

Une carresse plus appuyée que les autres arracha un gémissement au Lord qui ferma les yeux de plaisir, imaginant derrière ses paupières closes tout les fantasmes que faisaient naïtre les attouchements et les cris d'orgasme de l'elfe noire. Il la voulait ! Et tout de suite encore. Sentir ce corps autour du siens, sentir ces chaires autour des siennes, et la sentir onduler, la croupe fremissante en mordant sa lèvre inferieure dans un torrent de gémissements incontrolés, haletant dans cet sauvagerie douce ...

Les mains de Pyrros hésitèrent, agrippant la taille d'Arzuhra dans une étreinte violente et suave dans cet excés d'exitation qui lui donnait envie de la plaquer à nouveau contre le matelat. Fruit de ses pulsions, de ses envies et de ses fantasmes, les mains de Pyrros glissèrent le long des hanches de l'elfe noire, atteignant ses fesses ondulantes.Se redressant quelque peu pour mieu admirer ce corps offert, Pyrros fut prit d'une envie soudaine et perverse, et le premier coup arriva. Sans violence véritable, dans un claquement vif et tendre. Une simple tape sur ces fesses désirées, suivie d'une deuxième, alors que la main libre de Pyrros saisissait de nouveaux les hanches de la jeune femme dans une etreinte folle ... Et le bruit claquant de la peau noire sous la mains vive du Lord augmentait la perversité de l'ambiance de cette chambre déjà saturée de luxure et d'envie. Dieu qu'elle était désirable ...

Arzhura souriait étrangement alors qu'elle débarrassait Pyrros du dernier bout de tissu qui le séparait d'elle. Elle eu enfin la satisfaction de le voir mis à nu tout comme elle et cela tordit ses lèvre sen un rictus qui en disait long sur les pensées qui se bousculaient dans son cerveau obnubilé par le jeune homme qui se tenait tout près d'elle allongé sur le lit.

Elle le voulait pour elle, sentir son souffle sur sa peau, pouvoir explorer chaque recoin de son être, le sentir si près d'elle qu'ils pourraient presque former un seul et même être, lui arracher des cris de plaisir comme il l'avait fait auparavant et plus encore. Elle n'avait jamais sentit son corps la brûler à ce point et tout en elle la poussait vers lui comme une pulsion violente et incontrôlable mais ça ne semblait pas lui déplaire. Sa main s'attarda plus longuement au niveau de l'entrejambe de Pyrros, effectuant de délicates caresses qui se faisaient de plus en plus appuyées au fil des secondes.

Puis elle sentit soudainement les mains du Lord lui agripper la taille pour ensuite s'imposer sur ses fesses en un claquement sonore. Elle arqua un sourcil durant une demi seconde le temps de réagir à cette approche puis un sourire presque vicieux revint à sa bouche . Elle passa sa langue sur ses lèvres alors qu'un second claquement retentissait puis, sans attendre plus longtemps, elle posa sa main libre sur le torse du Lord, crispant sa main sur cette peau chaude qui respirait l'envie elle fit glisser ses ongles doucement mais de façon appuyée telle la griffure d'un félin mais en bien plus sensuel tout de même.

L'elfe pencha sa tête vers cette du jeune homme, l'embrassant fougueusement avant que ses dents ne viennent s'approprier la lèvre inférieure du mage. Elle quitta lentement cet endroit pour venir mordiller le cou de son partenaire, sa langue faisant irruption par moment. Puis ses lèvres reprirent son voyage pour l'embrasser et le mordiller un peu partout sur le haut du torse.
Arzhura se cambra légèrement, collant sa poitrine contre celle de son aimé alors que sa main rejoignait l'autre dans un sensuel ballet jusqu'à destination ou les caresses se firent plus vives alors qu'elle le fixait de nouveau en laissant échapper de brûlants soupirs.